À propos
Spécialisé en sports nautiques, entretien et réparation des bateaux, hivernage, mécanique, électricité, électronique,
le Chantier Naval du Chablais a démarré son activité en 2012.
Plus de 12 ans d’expérience à votre service, dans un esprit dynamique et convivial.
Revue de presse
À la barre, deux jeunes skippers enthousiastes et dynamiques
C’est jeune et ça ose tout. Y compris de créer son entreprise. « Le déclic, explique le benjamin de CNC, c’est ce bâtiment hérité de mon grand-père ». Le reste coulait de source : « On avait l’avantage de se connaître. J’avais le terrain, Jérémy les compétences. Tout était réuni pour concrétiser le projet. »
Hugo et Jérémy sont sur la même longueur d’onde en matière de nautisme. En octobre 2012, Hugo Landrieux, DUT de mécanique en poche, est arrivé avec l’enthousiasme de ses vingt ans et la bâtiment transmis par son grand-père. Plus âgé de dix ans, Jérémy Revel, titulaire d’un BTS électronique, s’est présenté avec ses compétences en matière d’électricité et une première expérience dans le milieu du nautisme.
« Le bouche-à-oreille fonctionne à merveille »
Deux ans après son lancement, CNC (chantier naval du Chablais) a très vite trouvé son rythme de croisière, solidement installé dans la zone industrielle d’Amphion, en lieu et place de la société Loisirs nautiques partie sous d’autres cieux.
Implanté dans un hangar de 1200 m2 à proximité des ateliers municipaux, le chantier naval du Chablais rayonne essentiellement sur la rive française du lac Léman.
Gilles Lecomte, en tant que salarié, et Bernard Revel père, en tant qu’actionnaire, apportent leur précieux concours à la bonne marche de l’entreprise spécialisée dans la manutention, l’entretien et le gardiennage de bateaux.
D’une vingtaine de bateaux à l’atelier la première année d’exploitation, CNC est passé à cinquante en 2013 et à près de quatre-vingts cette saison. « Nous faisons en sorte que le client n’ait qu’un seul interlocuteur du début à la fin des travaux. Ce qui veut dire, que le bouche-à-oreille fonctionne à merveille », soulignent d’une même voix Jérémy et Hugo. « Même si la concurrence est forte chacun y trouve son compte », expliquent les deux barreurs de CNC, dont l’objectif numéro un est de pérenniser la société en restant sur de bonnes bases : la confiance, la réactivité, la qualité du service à la clientèle.
Article rédigé par Jean-Claude Ermine
Article paru dans le Messager du 9 septembre 2014
Deux jeunes se jettent à l’eau pour créer un chantier naval
« Concours de circonstances », c’est l’explication que donne Jérémy Revel pour justifier sa présence dans ce vaste bâtiment de 1 200m2 de la zone industrielle d’Amphion, désormais à l’enseigne du Chantier Naval du Chablais.
Il parle aussi d’expériences diverses en mécanique et d’une autre, plus logique, en électricité automobile, acquise auprès de son père, Bernard, qui exerçait ses talents au vieux village de Vongy. Un père qui a toujours eu des demandes pour jeter un œil sur les problèmes des bateaux. Voilà pour un inventaire qui serait complet si on n’oubliait le travail de l’inox et de l’électronique. Plus un stage de 6 mois à Loisirs Nautiques.
Circonstance encore quand Jérémy fait la connaissance de Hugo Landrieux, le tout sur fond de restauration automobile. Au fil des rencontres, on évoque les projets professionnels, le second étant encore étudiant en DUT de Génie mécanique. En plus, il se trouve que Hugo est le petit-fils d’Albert Balbinot, le propriétaire du bâtiment d’Amphion.
Il n’en fallait pas plus pour que l’idée du Chantier Naval du Chablais naisse. Port à sec, hivernage, entretien, réparation, voilà ce que propose cette « start-up » amphionnaise qui mise, aussi, sur l’arrivée du nouveau port.
Article paru dans Le Messager du 11 octobre 2012